Je n'ai jamais eu pour but de faire parler de mon blog, en tous les cas plus depuis un long moment, je me sens chanceuse d'avoir un lectorat relativement important et fidèle. Je ne suis pas une blogueuse parfaite, je suis ultra tendancieuse, je n'écris pas particulièrement bien (dès fois cela pique aux yeux toutes ces fautes de frappe et mes tournures grammaticales plus qu'approximatives), je ne réponds pas (toujours) à vos commentaires alors que je les lis assidûment, je ne prends pas le temps de mettre au point une vraie organisation pour ce blog, une ligne éditoriale un peu plus dynamique, je possède quasi tous les nouveaux albums qui m'intéressent mais j'ai tant de retard accumulé que je ne sais où donner de la tête et, au final, je suis dépassée avant même de m'en rendre compte.
En réalité, je chronique au gré de mes fantaisies plus que de mes envies (mais ou sont donc mes chroniques de mes albums préférés de 2011 : ceux de Feist, My Brightest Diamond, de Mia Doi Tood et je vous passe de toutes les fabuleuses découvertes que j'ai faite depuis un moment mais dont je n'ai pas encore eu le temps d'accorder une place de choix sur WMIMM ?). Et puis, j'ai reçu il y a environ quinze jours, un petit mail disant que ELLE parle de WMIMM.
J'avoue que sur le coup, moi qui suis tellement recluse dans le monde de la blogosphère, presque isolée mis à part deux ou trois amitiés musicales avec d'autres blogueurs, que cela m'est passé par-dessus la tête. Depuis deux ans, j'étais presque devenue misanthrope, uniquement en contact avec quelques artistes et (surtout) totalement dépassée par mon nouveau rôle de maman. Je n'écris pas pour me faire plaindre (non, j'adore ma vie) mais pour remercier Florence Chartier, d'avoir mis des mots sur ma passion dans son article, et vous, mes lecteurs pour votre gentillesse et vos encouragements. Merci.
J'avoue que sur le coup, moi qui suis tellement recluse dans le monde de la blogosphère, presque isolée mis à part deux ou trois amitiés musicales avec d'autres blogueurs, que cela m'est passé par-dessus la tête. Depuis deux ans, j'étais presque devenue misanthrope, uniquement en contact avec quelques artistes et (surtout) totalement dépassée par mon nouveau rôle de maman. Je n'écris pas pour me faire plaindre (non, j'adore ma vie) mais pour remercier Florence Chartier, d'avoir mis des mots sur ma passion dans son article, et vous, mes lecteurs pour votre gentillesse et vos encouragements. Merci.